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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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INSCRIPTION DE FAUX INTELLECTUELS
Contre une décision rendue par le juge de l’exécution.
Au T.G.I de
Toulouse.
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PIECES |
Acte est
déposé au greffe du Tribunal de Grande Instance de Toulouse ou de la cour qui
ont une compétence exclusive en cette matière
(NCPC, art. 286).
Sur le
fondement de l’article 306 du NCPC.
Soit contre un jugement du 3 octobre 2012
Minute N° 12.536 Dossier N° 12/03125.
Affaire Laurent TEULE/ André LABORIE.
Décision rendue par :
Madame Nicole ELIAS-PANTALE.
*
* *
Inscription de faux a la demande de :
Monsieur LABORIE André N° 2 rue
de la Forge 31650 Saint Orens (transfert courrier).
·
PS : « Actuellement le courrier est
transféré automatiquement suite à la violation du domicile en date du 27 mars
2008 » domicile actuellement occupé par un tiers (Monsieur TEULE Laurent
et autres sans droit ni titre régulier).
·
A
domicile élu de la SCP d’huissiers FERRAN 18 rue tripière à Toulouse.
Et contre la décision judiciaire rendues par le
juge de l’exécution:
·
Madame Nicole ELIAS-PANTALE, Vice Présidente
au T.G.I de Toulouse.
PREAMBULE.
Qu’au vu d’un jugement aux références ci-dessus rendu par Madame Nicole
ELIAS-PANTALE à l’encontre de Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956 à
Toulouse sans que ce dernier soit appelé dans l’instance.
Qu’au vu de l’évidence du grief causé dans les droits de défense de
Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956, il était important que Madame Nicole
ELIAS-PANTALE en soit directement saisie de cette grave difficulté de procédure
dont elle n’a pas vérifiée l’acte de saisine du juge de l’exécution.
Qu’au vu d’une assignation introductive qui ne correspond pas à Monsieur
LABORIE André né le 20 mais 1956.
Qu’au vu de la signification de ce jugement constitutif de faux en
écritures sur la forme et le fond et de sa signification elle aussi
constitutive de faux.
Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956, toujours de bonne foi a saisi immédiatement
par lettre recommandée du 13 octobre 2012 Madame Nicole ELIAS-PANTALE lui
expliquant de sa nullité en sa décision et du grief causé en ses droits de
défense.
Qu’au vu de son courrier en réponse du 18 octobre 2012, lui aussi constitutif
de faux intellectuels indiquant que cette dernière n’est pas compétente pour
rétracter son jugement et en invoquant de faire appel alors que Monsieur
LABORIE André n’a jamais été appelé devant le juge de l’exécution dont jugement
rendu le 3 octobre 2012.
Que l’inscription de faux intellectuels est de droit à l’encontre de la
décision du 3 octobre 2012 aux références ci-dessus qui porte un préjudice
direct à Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956 à Toulouse.
PLAN.
I / Rappel du courrier du 13 octobre 2012. ( Page 2 ).
II / Dans quelle configuration Madame Nicole
ELIAS-PANTALE a-t-elle agit. ( Page 6 ).
III / Rappel des raisons pour lesquelles les
magistrats ont-ils agi ainsi en tant que juge de l’exécution dans les
différentes inscriptions de faux intellectuels déjà enregistrés. ( Page 10 ).
IV / La gravité d’une telle décision rendue en
date du 3 octobre 2012 et de la répression par la loi. ( Page 12 ).
V / La déontologie des magistrats. ( Page 13 ).
VI / La motivation
de l’inscription de faux intellectuel du jugement du 3 octobre 2012 aux
références ci-dessus. ( Page 14 ).
VII / En conclusion. (
Page 18 ).
I / RAPPEL DU COURRIER DU 13 OCTOBRE 2012.
En ces termes.
Je suis très surpris du jugement du 3 octobre 2012 que vous avez rendu au profit de Monsieur TEULE Laurent.
Je vous indique en premier que Monsieur TEULE Laurent occupe par voie de fait, depuis le 1er avril 2008 la propriété de Monsieur et Madame LABORIE toujours établie et situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Que Monsieur TEULE Laurent usurpe son adresse en utilisant l’adresse du domicile et de la propriété de Monsieur et Madame LABORIE. « Plainte déposée ».
Je vous rappelle, pour que vous soyez saisie et que vous puissiez rendre un jugement à mon encontre, je dois être assigné en justice par acte d’huissier en respectant certaines règles de droit du code de procédure civile.
En l’espèce, je n’ai pas été assigné en justice pour l’audience du 3 octobre 2012.
- Moi je suis né le 20 mai 1956 à
Toulouse
- Et non : né le 28 août
1953 à Alos « Arriège ».
Que votre décision est très grave de n’avoir pas vérifié l’identité des parties, d’avoir repris une situation juridique fausse. « acte constitutif de faux intellectuels ».
Rappel :
Le faux intellectuel ne
comporte aucune falsification matérielle a posteriori de l'acte, aucune
intervention sur l'instrumentum. Il consiste pour le rédacteur de l'acte
authentique, qui est nécessairement un officier public, à
énoncer des faits ou à rapporter des déclarations inexactes.
Les actes authentiques
: Actes de notaire, d'huissier de justice, d'officier de l'état civil, du juge,
du greffier.
Art. 457.du NCPC - Le jugement a la force
probante d'un acte authentique.
Les mentions portées par le juge dans sa décision au
sujet des déclarations des parties qu'il a lui-même recueillies et dont il a
donné acte font foi jusqu'à inscription de faux ( Cass. soc., 20 avr. 1950
: D. 1951, somm. p. 64 ; S. 1951, 1, 93 ; RTD civ. 1951, p. 429, obs. P.
Raynaud. – Pour le donné acte d'un aveu judiciaire, CA Amiens, 1er juill. 1991 : Juris-Data n°
043760).
4. Un jugement non
avenu ne peut avoir aucune valeur probatoire. Civ. 1re, 28 janv. 1997:
Bull. civ. I, n° 34; Gaz. Pal. 1998. 2. 794, note du Rusquec.
Fait réprimé par l’Art. 441-4 du code pénal :
Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou
dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans
d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa qui précède est
puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 € d'amende lorsque
le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de
l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans
l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.
***
Qu’au vu de votre compréhension et de votre bonne foi à régulariser à réception la nullité de ce jugement, situation très grave, me causant un grief important. « N’ayant pu assurer ma défense ».
Je ne
souhaite pas en poursuivre à ce jour par la voie de droit.
D’autant plus que vous ne pouvez ignorer que la procédure doit être contradictoire entre les parties, par la production des pièces le tout respectant l’article 6 et 6-1 de la CEDH en ses article 14-15-16 du ncpc.
Qu’en conséquence, il est de
votre devoir et obligation d’en informer Monsieur TEULE Laurent que votre
saisine doit être faite par acte d’huissier de justice en respectant l’article 648 du ncpc, soit la bonne
identité de la personne concernée.
Sans cette obligation de droit vous ne pouvez me convoquer directement.
Je vous rappelle que le conseil
de Monsieur TEULE Laurent est impliqué dans une grosse affaire d’escroquerie
d’abus de confiance en complicité de tiers, qu’un juge d’instruction a été
saisi du dossier sur Paris et qu’il agit encore de la même façon auprès de vous
pour obtenir des décisions par escroquerie, abus de confiance.
Vous ne pouvez nier de cette
situation par votre greffière qui en a connaissance et directement concernée
par différentes décisions « Toutes inscrites en faux
intellectuels principal, procès verbaux rédigés par officiers public du
T.G.I et dénoncés aux parties et à Monsieur le Procureur de la République
» dont le juge d’instruction de Paris a ouvert une information à ma demande,
procédure en cours.
Je compte sur votre bonne foi et sur toute votre compréhension.
Je vous rappelle que l’acte introductif d’instance étant nul après vérification, il n’existe pas de Monsieur LABORIE André, né le 28 août 1953 à ALOS ( Ariège) domicilié au 18 rue tripière à Toulouse.
Mon identité précise est la suivante :
Monsieur LABORIE André, né le 20 mai 1956 à Toulouse, N° 2 rue
de la forge 31650 Saint Orens. « Demandeur d’emploi et au RSA »
Je vous remercie d’en informer la partie poursuivante à fin qu’elle puisse saisir si elle le désire votre juridiction pour faire valoir ses prétentions et pour me permettre d’assurer ma défense seul ou assisté d’un avocat au titre de l’aide juridictionnelle et tout en faisant respecter l’article 6 et 6-1 de la CEDH en ses article 14-15-16 du ncpc ainsi que le respect du code déontologique des Magistrats.
Je reste dans l’attente de recevoir votre annulation du
jugement rendu le 3 octobre 2012.
Dans cette attente, je vous prie de croire, Madame, l’expression de ma parfaite considération.
Pièce :
Art. 648 Tout acte d'huissier de justice indique, indépendamment des mentions
prescrites par ailleurs:
1. Sa date;
2. a)
Si le requérant est une personne physique: ses nom, prénoms, profession, domicile,
nationalité, date et lieu de naissance;
b)
Si le requérant est une personne morale: sa forme, sa dénomination, son siège
social et l'organe qui la représente légalement.
3. Les nom, prénoms, demeure et signature de
l'huissier de justice;
4. Si l'acte doit être signifié, les noms et
domicile du destinataire, ou, s'il s'agit d'une personne morale, sa
dénomination et son siège social.
Ces
mentions sont prescrites à peine de nullité.
PS : J’en informe la SCP d’huissier VALES GAUTIE
PELISSOU avant que cette affaire ne s’aggrave encore plus et sous votre entière
responsabilité car l’acte de signification a été fait à Monsieur LABORIE André
né le 28 août 1953 à Alos « Ariège ».
II / Dans quelle configuration Madame Nicole
ELIAS-PANTALE a-t-elle agit
Pour mieux comprendre les
agissements de son auteur.
·
Madame Nicole ELIAS-PANTALE se substitue à 4
précédents magistrats.
Ces 4 Magistrats ayant aussi agit en tant que juge de l’exécution sont
les suivants.
·
Monsieur CAVE Michel.
·
Monsieur Pierre SERNY.
·
Madame SALABERT Véronique.
·
Monsieur
Bruno STEINMANN.
Il est rappelé que Monsieur
CAVE Michel est le principal juge de l’exécution nommé régulièrement dans ses
fonctions au T.G.I de Toulouse.
·
Que
Monsieur CAVE Michel est impliqué dans une affaire criminelle pour des faits
qui lui sont reprochés, soit voies de faits graves en 2005 ; en 2006 et
2008.
Qu’une plainte et une information
est ouverte devant un juge d’instruction de Paris, l’affaire est en cours ainsi
qu’une procédure par voie d’action pour autres infractions.
·
Soit
pour une affaire criminelle et pour avoir en premier participé à une détention
arbitraire et pendant cette dernière avoir rendu un jugement de subrogation en
date du 29 juin 2006 par faux et usage de faux intellectuels et suivants.
·
Soit
aussi pour avoir détourné une somme de plus de 271000 euros dans cette affaire
par faux et usage de faux par ordonnance du 11 décembre 2008.
Que ce jugement de subrogation
rendu par Monsieur CAVE Michel le 29 juin
·
Soit : Procès verbal
d’inscription de faux intellectuels contre
un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 N0 enregistrement : 08/00026
au greffe du T.G.I de Toulouse le 08 juillet 2008.
Que cette ordonnance rendue
par Monsieur CAVE Michel le 11 décembre
·
Procès verbal d’inscription de faux intellectuels dans
différents dossiers et contre différents jugements rendus par le juge de
l’exécution N° enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30
mai 2012.
Que Monsieur Pierre SERNY , Madame SALABERT Véronique , Monsieur Bruno STEINMANN ont participé en remplacement de Monsieur CAVE Michel et ont agi par trafic d’influence de ce dernier dans différentes décidions rendues et contraires à la déontologie des magistrats, avec partialité, par faux et usages de faux et sur une situation juridique inexacte pour chacun des dossiers dont le juge de l’exécution a été saisi.
Soit les différentes décisions
qui ont été inscrites en faux
intellectuels, faux en écritures publiques devant le T.G.I de Toulouse sur le
fondement de l’article 306 du ncpc et sur le fondement de l’article 1319
du code civil par la plainte déposée en faux principal, l’exécution de l’acte argué de faux a été suspendue par la mise en
accusation, n’ayant plus aucune valeur authentique pour servir ce que de droit.
Soit dans les décisions aux références
suivantes :
II /
Deuxième procédure devant le JEX
« Nullité
d’un projet de distribution et ses conséquences »
Assignation
pour l’audience du 19 novembre 2008.
De Maître FRANCES Elisabeth instigatrice d’un
projet de distribution.
Soit assignation
en contestation.
**
Jugement principal
du 25 mars 2009 : Dossier N° 08/03700 / Minute 09/128
Rendu par Monsieur Pierre SERNY.
Jugement
accessoire du 24 juin 2009 : Dossier 09/01222 / Minute 09/318.
Rendu par Monsieur SERNY Pierre.
Jugement de
renvoi du 24 février 2010 : Dossier
N° 10/00079 / Minute 10/97.
Rendu par Madame Véronique SALABERT.
Jugement
accessoire du 09 juin 2010 : Dossier N° 10/00079 / Minute 10/276.
Rendu par Madame SALABERT véronique.
Jugement
accessoire rectificatif du 16 juin 2010 : Dossier N° 10/01972 / Minute
10/288.
Rendu par Madame SALABERT véronique.
Jugement
accessoire du 15 juin 2011 : Dossier N° 11/00149 Minute 11/290.
Rendu par Monsieur STEINMANN Bruno.
*
* *
III / Troisième procédure devant le JEX.
« Nullité de la 1er saisie
attribution »
1er Assignation
pour le 1er avril 2009 :
De la SCP d’huissiers VALES ;
GAUTIE ; PELISSOU.
( Jonction
des procédures I et II )
*
* *
IV / Quatrième
procédure devant le JEX.
« Nullité
de la 2ème saisie attribution »
2ème
Assignation pour le 10 juin 2009 :
De la
SCP d’huissiers VALES ; GAUTIE ; PELISSOU.
&
Monsieur TEULE Laurent.
**
Jugement principal
du 24 juin 2009 : Dossier N° 09/00930 / 09/1667 Minute 09/317.
Rendu par Monsieur Pierre SERNY.
Jugement
accessoire de renvoi du 24 février 2010 : Dossier N° 10/00074 Minute
10/95.
Rendu par Madame Véronique SALABERT.
Jugement
accessoire du 09 juin 2010 : Dossier N° 10/00074 Minute 10/294.
Rendu par Madame SALABERT véronique.
Jugement
accessoire du 15 juin 2011 : Dossier N° 11/00145 Minute 11/287.
Rendu par Monsieur STEINMANN Bruno.
*
* *
V / Cinquième procédure devant le JEX.
« Nullité
de la 3ème saisie attribution »
3ème
Assignation pour l’audience du 28 juillet 2009.
De Madame d’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
&
De la SCP d’huissiers VALES ;
GAUTIE ; PELISSOU.
**
Jugement de
renvoi du 24 février 2010 : Dossier
N° 10/00073 Minute 10/94.
Rendu par Madame Véronique SALABERT.
Jugement principal
du 09 juin 2010 : Dossier N° 10/00073 Minute 10/273.
Rendu par Madame SALABERT véronique.
Jugement
accessoire du 15 juin 2011 : Dossier N° 11/00146 Minute 11/288.
Rendu par Monsieur STEINMANN Bruno.
*
* *
VI /
Sixième procédure devant le JEX.
Nullité de la 4ème
saisie attribution
4ème
Assignation pour l’audience du 23 septembre 2009.
De la SCP d’huissiers VALES ;
GAUTIE ; PELISSOU.
&
De Madame d’ARAUJO épouse BABILE Suzette.
&
Monsieur TEULE Laurent.
&
La SARL LTMDB.
**
Jugement de
renvoi du 24 février 2010 : Dossier
N° 10/00075 Minute 10/96.
Rendu par Madame Véronique SALABERT.
Jugement principal
du 09 juin 2010 : Dossier N° 10/00075 Minute 10/275.
Rendu par Madame SALABERT véronique.
Jugement
accessoire du 15 juin 2011 : Dossier N° 11/00147 Minute 11/289.
Rendu par Monsieur STEINMANN Bruno.
*
*
*
Soit par procès verbal
suivant :
·
Procès verbal d’inscription de faux intellectuels dans
différents dossiers et contre différents jugements rendus par le juge de
l’exécution N° enregistrement : 12/00023 au greffe du T.G.I de Toulouse le 30
mai 2012.
Il est à préciser que ces deux procès verbaux établis par officier public
du T.G.I de Toulouse sur le fondement de l’article 306 du ncpc ont été
signifiés par huissier de justice aux parties ainsi qu’à Monsieur le Procureur
de la République.
Qu’aucune des parties n’ont contesté l’inscription de faux dont la
motivation était pertinente au vu des écrits et des preuves apportée par les
pièces fournies.
Que sur le fondement de l’article 1319 du code civil par la
plainte déposée en faux principal, l’exécution de
l’acte argué de faux a été suspendue par la mise en accusation, n’ayant plus
aucune valeur authentique pour servir ce que de droit.
III / Rappel des raisons pour lesquelles les
magistrats ont-ils agi ainsi en tant que juge de l’exécution dans les
différentes inscriptions de faux intellectuels ci-dessus reprises.
Rappel de la
procédure synthétisée.
Il existe une grave procédure à l’encontre de Monsieur LABORIE André « ce dernier victime ainsi que Madame LABORIE Suzette et sa famille », procédure faite en complot de magistrats, Avocats, devant la juridiction toulousaine, soit une détention arbitraire préméditée du 14 février 2006 au 14 septembre 2007, dans le seul but d’exclure Monsieur LABORIE André devant la chambre des criées et dans d’autres procédures.
Agissements auto-forgés de détention arbitraire pour priver Monsieur LABORIE de tous ses moyens de défense, soit de ses propres moyens et du droit de défense à l’obtention d’un avocat au titre de l’aide juridictionnelle, Monsieur LABORIE André déjà démuni préalablement par les mêmes personnes de ses moyens financiers.
Que ces magistrats, avocats agissant en complot et en bande organisée comme il va l’être démontré, profitant de cette situation. « Absence de moyens de défense ».
Qu’au cours de cette détention arbitraire, par faux et usage de faux intellectuels, ils ont procédé à une procédure de saisie immobilière sur de faux éléments pour nous spolier en violation de toutes les règles de droit notre propriété toujours située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Qu’au cours de cette détention arbitraire, par faux et usages de faux intellectuels, ils ont procédé par corruption active et passive « trafic d’influence » devant le juge de l’exécution du tribunal d’instance de Toulouse à obtenir une ordonnance d’expulsion dans la même configuration que le jugement de subrogation et sans respecter les règles de droit postérieures au jugement d’adjudication rendu par la fraude le 21 décembre 2006.
Qu’au
cours de cette détention arbitraire, par faux et usage de faux, alors que
Monsieur et Madame LABORIE avaient retrouvé leur propriété par une action en
résolution du jugement d’adjudication , l’adjudicataire par son conseil et sous
le couvert de certains magistrats, par faux et usages de faux ont vendu la
propriété de Monsieur et Madame LABORIE devant Maître CHARRAS Notaire à
Toulouse, ce dernier neveu de Madame Danièle CHARRAS vice procureur de la
République de Toulouse avec laquelle Monsieur LABORIE avait un lourd
contentieux, celle-ci traduite devant le
tribunal correctionnel en 2004 pour des fait très graves réprimés par les
articles 432-1 et 432-2 du
code pénal.
Que c’est dans cette configuration ou Monsieur LABORIE André a sa sortie de prison soit le 14 septembre 2007, revendiquait sa détention arbitraire et sa propriété ainsi que la procédure d’expulsion mise en place par les divers harcèlements d’huissiers agissant sous le couvert du parquet de Toulouse et de la Préfecture de la Haute Garonne, cette dernière agissant par faux et usages de faux à la demande de la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAU à ordonner sous le contrôle du parquet l’autorisation de la force publique à expulser Monsieur et Madame LABORIE le 27 mars 2008, violant de ce fait leur domicile et le vol de tous les meubles et objets meublant celui ci.
Le but recherché était d’anéantir, de mettre à terre Monsieur LABORIE André pour qu’il ne puisse plus agir en justice et revendiquer ce crime prémédité en bande organisée.
Que Monsieur LABORIE André n’a pu rien faire, Monsieur et Madame LABORIE ont été harcelés le 27 mars 2008 par une dizaine de gendarmes, ils étaient prêt à le menotter si une quelconque rébellion.
Le pillage de notre propriété, de notre domicile située au N° 2 rue de la forge 31650 s’est effectué sur trois journées sans notre consentement.
Toutes ces voies de faits sous le contrôle du parquet de Toulouse qui s’est refusé encore à ce jour de faire cesser ces différents troubles à l’ordre public, cautionnant par son silence de telles voies de faits.
Qu’au vu de ces voies de faits, des mesures provisoires ont été demandées en référé devant le T.G.I de Toulouse.
Que devant le T.G.I, pour couvrir de telles voies de faits, des ordonnances ont été rendues dans le seul but de faire obstacle aux procédures, annulant purement et simplement les assignations introductives d’instance et pour soit disant d’un préjudice qui serait causé aux parties défenderesses de ne pouvoir signifier des actes à notre propriété, notre domicile qui venait d’être violé le 27 mars 2008.
Que de telles ordonnances rendues ont fait l’objet toutes de significations à Monsieur et Madame LABORIE au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Que l’escroquerie au jugement était bien caractérisée avec la corruption passive de Monsieur COUSTEAUX Gilbert qui ensuite a eu une promotion dans ses fonctions, promu à la cour d’appel de Toulouse.
D’autant plus que ces ordonnances ont été mises en exécution par des saisies attributions irrégulières sur le fond et la forme et dans le seul but d’enlever les moyens financiers restants à Madame LABORIE Suzette et sur des sommes déjà saisies à la base, sans avertir de cette situation frauduleuse à Monsieur LABORIE André, ce dernier concerné par les ordonnances communes, vivant séparément chacun de leur côté séparé de fait depuis 2001.
Que c’est dans ces conditions sortant des règles déontologiques des magistrats, que ces derniers ont agi de la même façon devant le juge de l’exécution pour couvrir le crime organisé presque parfait et continuer à porter préjudices à Monsieur et Madame LABORIE dans le seul but de couvrir ces différents actes malveillants, actes effectués par la SCP d’huissiers VALES, GAUTIE, PELLISSOUS, ces magistrats se rendant coupables de complicité dans chacune des procédures devant le JEX de détournement de fond.
IV / La gravité de telles décisions rendues et de
la répression par la loi
Le faux intellectuel ne
comporte aucune falsification matérielle a posteriori de l'acte, aucune
intervention sur l'instrumentum. Il consiste pour le rédacteur de l'acte
authentique, qui est nécessairement un officier public, à
énoncer des faits ou à rapporter des déclarations inexactes.
Les actes authentiques
: Actes de notaire, d'huissier de justice, d'officier de l'état civil, du juge,
du greffier.
Art. 457.du NCPC - Le jugement a la force
probante d'un acte authentique.
Les mentions portées par le juge dans sa décision au
sujet des déclarations des parties qu'il a lui-même recueillies et dont il a
donné acte font foi jusqu'à inscription de faux ( Cass. soc., 20 avr. 1950
: D. 1951, somm. p. 64 ; S. 1951, 1, 93 ; RTD civ. 1951, p. 429, obs. P.
Raynaud. – Pour le donné acte d'un aveu judiciaire, CA Amiens, 1er juill. 1991 : Juris-Data n°
043760).
Que ces voies de faits effectués par des personnes dépositaires de
l’autorité publique ci-dessus ou chargée d'une mission de service public
agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission sont réprimées par
les articles 441-1 à 441-4 du code pénal.
Art.
441-4 du code
pénal : Le faux commis dans une écriture publique ou
authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni
de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes
peines.
Les peines sont portées à quinze ans de
réclusion criminelle et à 225 000 € d'amende lorsque le faux ou l'usage de
faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée
d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de
sa mission.
« L’élément
intentionnel résulte de la nature même du délit » ( Cass.crim, 4 janvier
1902 : DP 1904, p.128-19 mars 1942 : DA 1942, p.102-16 janv
1947 : Bull.crim, N°23.-3 janv.1970 : D.1970, somm.p.68 ;
Bull.crim,N°7).
V / La déontologie des magistrats
Qu’au vu du code
de déontologie des magistrats :
• Il incombe à tout juge d’observer une
réserve et d’éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu’il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l’autorité de l’institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dés lors qu’il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
• Le Magistrat qui, ayant l’obligation morale
de se déporter et d’éviter toute intervention de nature à donner l’apparence
d’un manquement à la neutralité et à l’impartialité, ne le fait pas, faillit
aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et
dans son action.
Qu’au vu des
liens qui unissent Madame Nicole ELIAS-PANTALE avec les quatre
précédents magistrats, celle-ci aurait du être attentive aux informations
recueillies.
Sanction du C.S.M : Décision S 79
Conseil supérieur de la magistrature, statuant comme
conseil de discipline des magistrats du siège
MAGISTRAT -
Devoirs fondamentaux - Devoir de neutralité - Manquement - Applications
diverses - Intervention de nature à donner l'apparence d'un manquement à la
neutralité
Il incombe à tout juge d'observer une réserve rigoureuse
et d'éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu'il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l'autorité de l'institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dès lors qu'il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
Le magistrat qui, ayant l'obligation morale de se
déporter et d'éviter toute intervention de nature à donner l'apparence d'un
manquement à la neutralité et à l'impartialité, ne le fait pas, faillit aux
devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et dans
son action.
MAGISTRAT
- Devoirs fondamentaux - Devoir de maintenir la confiance du justiciable
envers l'institution judiciaire - Manquement - Applications diverses -
Intervention de nature à donner l'apparence d'un manquement du magistrat à la
neutralité et à l'impartialité
Manque aux devoirs de délicatesse et de loyauté auxquels
est tenu tout juge, et omet de se conduire comme un digne et loyal magistrat,
le juge qui, en ne se déportant pas dans des affaires où il a l'obligation
morale de ne pas siéger, se départit de la réserve rigoureuse à laquelle il est
tenu, s'exposant ainsi à ce que son impartialité et sa neutralité soient mises
en cause et portant, de ce fait, atteinte à l'autorité de l'institution
judiciaire.
Textes appliqués : Ordonnance n° 58-1270 du
22 décembre 1958, articles
43 à 58 ; loi organique n° 94-100 du 5 février 1994, articles
18, 19
; décret n° 94-199 du 9 mars 1994, articles
40 à 44.
Qu’en conclusions : Au vu de leurs fonctions de
Magistrats et ne pouvant méconnaître les règles de droit qui s’imposent, ils
sont responsables des faits reprochés réprimés de peines criminelles
VI / Motivation de l’inscription du faux
intellectuel
Soit contre un
jugement du 3 octobre 2012
Minute N°
12.536 Dossier N° 12/03125.
Affaire Laurent
TEULE/ André LABORIE.
Décision rendue par : Madame Nicole ELIAS-PANTALE.
C’est dans ces conditions ci-dessus que Madame Nicole ELIAS-PANTALE
intervient à la demande de Monsieur TEULE Laurent et de son conseil la SCP
BOURRASSET.
Qu’au vu du code déontologique reprenant les textes ci-dessus, cette
dernière ne pouvait intervenir au vu des liens qui les unissent entre magistrats
impliqués dans les procédures ci-dessus dont faux intellectuels. « Plaintes à leur encontre ».
Art. 457.du NCPC - Le jugement a la force
probante d'un acte authentique.
Les mentions portées par le juge dans sa décision au
sujet des déclarations des parties qu'il a lui-même recueillies et dont il a
donné acte font foi jusqu'à inscription de faux ( Cass. soc., 20 avr. 1950
: D. 1951, somm. p. 64 ; S. 1951, 1, 93 ; RTD civ. 1951, p. 429, obs. P.
Raynaud. – Pour le donné acte d'un aveu judiciaire, CA Amiens, 1er juill. 1991 : Juris-Data n°
043760).
Que Madame Nicole ELIAS-PANTALE a accepté sans respecter un quelconque
débat contradictoire de fausses informations portées à sa connaissance, soit
une fausse situation juridique pour causer un grief à Monsieur LABORIE André né
le 20 mai 1956 à Toulouse.
Sur l’identité des
parties :
Il est incontestable au vu de
l’assignation introductive, que ce n’est pas Monsieur LABORIE André né le 20
mai 1956 qui a été appelé dans l’affaire.
·
Car
l’assignation indique Monsieur LABORIE André né le 28 août 1953 à Alos en
Ariège.
Sur les griefs causés à Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956.
« moi-même »
· Voir explication dans mon courrier du 13 octobre 2012 ci-dessus repris.
Sur la fausse situation juridique exposée.
Que le contenu de ce jugement est contraire au contenu d’un commandement de quitter les lieux délivré par huissier de justice le 29 juin 2012 à Monsieur TEULE Laurent suite à la propriété de Monsieur et Madame LABORIE toujours située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
·
Que ce
commandement n’a jamais été contesté par Monsieur TEULE Laurent.
Qu’en conséquence :
·
Il est
forclos de venir contester le dit commandement du 29 juin 2012 devant le juge
de l’exécution hors délai qui lui était imparti et devant le T.G.I de Toulouse.
Qu’au seul vu de l’acte
saisissant le juge de l’exécution, la nullité de la procédure était d’ordre
public au vu du non respect de l’article 648 du ncpc et du grief causé dans les
droits de défense de Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956.
Que seul le tribunal d’instance
était compétent concernant un logement, Monsieur LABORIE André né le 20 mai
Que la fin de non recevoir était
d’ordre public, Monsieur TEULE Laurent était forclos à soulever une quelconque
contestation du commandement délivré le 29 juin 2012 et hors délai imposé, Monsieur
LABORIE André né le 20 mai
Et au vu qu’une décision a été rendue
par la préfecture de la haute Garonne le 24 septembre 2012 ordonnant après
vérification des pièces que Monsieur et Madame LABORIE étaient bien les
propriétaires, non contesté par Monsieur TEULE en son commandement du 29 juin
2012 et en ses différents actes portés à sa connaissance par huissier de
justice restés eux aussi sans contestations. « voir commandement ». et concernant les différent acte
d’inscription de faux en écritures publiques sur actes obtenus par
malveillance, fraude.
Que la préfecture de la HG a ordonné l’expulsion immédiate par décision
du 24 septembre 2012 de Monsieur TEULE Laurent et de tous les occupants du
domicile, propriété située au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
·
Que la décision prise par la préfecture en date
du 24 septembre 2012 est légale, légitime au vu de l’application de l’article 38 de la loi N° 2007-290 du 5 mars 2007.
Sur la malice de Monsieur TEULE Laurent et de son conseil pour
tromper les différentes juridictions et mettre les différents magistrats une
nouvelle fois en difficultés.
Ils reprennent une situation juridique fausse et le juge la reprend sans faire une quelconque vérification, sans respecter les règles fondamentales de droit en ses articles 14 ; 15 ; 16 du ncpc en son article 6 et 6-1 de la CEDH ainsi que les règles du code déontologique des Magistrats.
Que leurs écrits reprennent seulement un déroulement général et faux de la procédure qui s’est faite en omettant volontairement les conditions dans les quelles ces actes ont été obtenus.
·
Maître
BOURRASSET agit à chaque fois par escroquerie, abus de confiance afin d’obtenir
une décision favorable et tromper les magistrats.
Qu’il est rappelé que le
commandement de quitter les lieux signifié par huissier de justice le 29 juin
2012 à Monsieur TEULE Laurent n’a pas fait l’objet d’une quelconque
contestation dans le délai des deux mois.
Que ce commandement a été délivré au vu que Monsieur TEULE Laurent ne pouvait détenir un quelconque titre de propriété.
Toutes les explications sont dans ce commandement. « Non
contestées par Monsieur TEULE Laurent »,
communiquées à la préfecture de la HG.
Monsieur TEULE Laurent n’indique pas que ses actes prétendus de propriété, ont fait l’objet tous d’une inscription de faux pour chacun deux dont un procès verbal a été rédigé par officier public au T.G.I de Toulouse sur le fondement de l’article 306 du ncpc.
I / Soit pour les actes notariés du 5 avril et du 6 juin 2007. « Obtenus par la fraude ».
II / Soit pour l’acte notarié du 22 septembre 2009.
Qu’en conséquence au vu de diverses plaintes en faux principal portées
à la connaissance de la préfecture :
·
Sur le
fondement de l’article 1319 du code civil, l’exécution de l’acte argué
de faux sera suspendue par la mise en accusation, par la plainte en faux
principal déposée.
D’autant plus qu’après dénonce aux parties soit au défenseur et pour lui
permettre de soulever une contestation sur l’acte inscrit en faux ou sur les
actes, aucune contestation n’a été soulevée d’aucune des parties.
Qu’il est rappelé qu’il n’y avait pas lieu d’assigner en justice les
parties pour leur en demander s’ils s’en prévalaient de ses faux car ils ont
été déjà consommés. « Le délit étant constitué ».
Encore plus grave :
L’argumentation de Maître BOURRASSET est d’autant plus grave qu’il porte
de fausses informations à un juge concernant la soit disante signification du
jugement d’adjudication.
Monsieur TEULE Laurent est bien à ce jour sans aucun titre de propriété
bien qu’il a pu bénéficier pendant un certain temps de titres obtenus par actes
de malveillances. « fraude, escroquerie, abus de confiance ».
Actes de malveillances, soit argumentation faisant parti de la motivation
des inscriptions de faux déposée au parquet de Toulouse et qui ce dernier
aurait pu la contester après que lui soit signifié par huissier de justice les
procès verbaux rédigés par l’officier public du T.G.I de Toulouse.
« La voie de fait est matériellement établie de squatter sans droit ni titre la propriété, le domicile de Monsieur et Madame LABORIE toujours situé au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.
Raison pour laquelle qu’à ma demande, la SCP d’huissier FERRAN a demandé après une première tentative d’expulsion restée sans réponse, la réquisition de la force publique auprès de Monsieur le Préfet de la HG pour qu’il soit ordonné l’expulsion de Monsieur TEULE Laurent et autres occupants par la force publique.
La préfecture avait l’obligation d’ordonner la force publique a expulser les occupants au vu
de l’article 38 de la loi N°
2007-290 du 5 mars 2007, celle ci qui donne obligation à Monsieur le Préfet
d’ordonner l’expulsion par la force publique dans un tel cas de violation de la
propriété de Monsieur et Madame LABORIE.
Que la décision du 24 septembre 2012 était régulière au fond et en la forme, légale et aucun moyen ne pouvait être soulevé devant le tribunal administratif par Monsieur TEULE Laurent.
Que Monsieur TEULE Laurent doit
se rendre compte de la caducité de ses
actes de malveillances qu’il a obtenues et doit succomber aux demandes de
Monsieur LABORIE André et à la décision régulière du 24 septembre 2012 rendue
par la préfecture de la Haute Garonne.
XII
/ Conclusions :
Qu’en conséquence au vu de toutes
les preuves apportées par Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956, le jugement
rendu le 3 octobre 2012 est bien constitutif de faux intellectuels.
Que Madame Nicole ELIAS-PANTALE auteur
de la décision du 3 octobre 2012 doit être poursuivie et sanctionnée
conformément à la loi en son article 441-4 du code pénal et conformément aux
articles sur le fondement des Art.
432-1 et 432-2 du code pénal, pour l’obstacle
à la saisine du juge de l’exécution et pour ne pas avoir vérifié la vraie
identité des parties.
Art.
432-1 du code pénal : Le fait, par une personne
dépositaire de l'autorité publique, agissant dans l'exercice de ses fonctions,
de prendre des mesures destinées à faire échec à l'exécution de la loi est puni
de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 € d'amende. — Civ. 25.
Art.
432-2 du code pénal : L'infraction
prévue à l'article 432-1
est punie de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende si elle a été
suivie d'effet.
Art. 441-4 du code pénal : Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 €
d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne
dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public
agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission. — Discipl. et pén. mar. march.
44.
Sous toutes réserves dont acte :
Monsieur LABORIE André.
Le 25 octobre 2012
BORDEREAU DE PIECES
Signification du commandement de quitter les lieux du 29 juin 2012. ( Page 20 )
Procès verbal de Tentative d’expulsion. ( Page 51 )
Réquisition de la force publique. ( Page 53 )
Décision de la préfecture rendue le 24 septembre 2012. ( Page 56 )
Carte d’identité de Monsieur LABORIE André né le 20 mai 1956
à Toulouse. ( Page 58 )
Assignation devant le juge de l’exécution de Monsieur LABORIE André né le 28 août 1953 alors que ce dernier n’existe pas. ( Page 60 )
Jugement du 3 octobre 2012 :
Minute N° 12.536 Dossier N° 12/03125. (
Page 61 )
Courrier du 18 octobre 2012 de Madame ELIAS – PANTALE. ( Page
65 )